Climat, science et propagande
"Le Giec est un organisme qui a été créé en 1988, à la demande des gouvernements des pays les plus riches...(genre G20...si vous voyez...), par le Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PNUE) et l’Association Mondiale Météorologique et placé sous la responsabilité de l’ONU.
Parce que c’est un organisme gouvernemental, la nomination de ses membres est politique et ne répond pas à des critères strictement scientifiques.
Il « a pour mission d’évaluer […] les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. […] Il n’a pas pour mandat d’entreprendre […] de suivre […] d’autres paramètres pertinents. »."
« Quand le doigt montre la lune...l’idiot regarde le doigt! »
"Cette nouvelle "journée mondiale pour l'environnement" a donc été une fois de plus prétexte à mystification...
La diabolisation actuelle des énergies fossiles, tenues pour responsables d’un réchauffement climatique, lequel est matraqué comme irréversible et catastrophique, est de nature à favoriser les conflits. Des milliards d’humains ont un besoin vital d’énergie abondante et peu chère pour atteindre une qualité de vie minimale que les occidentaux connaissent depuis longtemps. L’environnementalisme tel qu’il est propagé aujourd’hui conduit au sacrifice de populations. Le Dr Patrick Moore, un co-fondateur de Greenpeace qui répudia totalement le mouvement par la suite dit : "Le mouvement environnemental est devenu la plus puissante force qui existe pour empêcher l’essor des pays en voie de développement. (...) Je pense qu’il est légitime que je les qualifie d’anti-humains".
L’idéologie ainsi diffusée selon laquelle il faudrait réduire les niveaux d’activité économique et de population humaine afin de baisser le taux de dioxyde de carbone dans l’air, est une campagne néfaste pour le Nord aussi bien que le Sud car elle prône la démolition des économies modernes et le maintien dans le sous développement d’une grande partie du monde. Comment des écologistes peuvent-ils cautionner une telle idée?
Cette propagande, il n’y a pas d’autre mot car elle ne laisse pas la place à ses contradicteurs, ne vise manifestement qu’à manipuler les populations qui, rendues inquiètes et coupables, se laisseront imposer des taxes et réglementations coercitives. L’argent public sera gaspillé dans des politiques coûteuses qui feront prospérer artificiellement les industries et les marchés de certains pays tout en bridant ceux des autres, cette politique de contrôle de l’activité industrielle et économique, imposée par les pays riches aux nations émergentes, ne visant qu’à les empêcher de se poser jamais en concurrentes des multinationales occidentales.
Certes, on ne fera jamais assez de sensibilisation aux effets des activités de l’homme sur son environnement, à commencer par les rejets sauvages des activités industrielles, l’agriculture et l’élevage intensifs qui polluent les sols et l’eau, la déforestation, la diminution de la biodiversité, la surexploitation des mers… Mais cette carbo-phobie occulte les vrais problèmes (dioxines, OGM, PCB, métaux lourds, nitrates, insecticides, fongicides…) fabriqués par les multinationales de l’agrochimie, qui génèrent d’énormes profits auxquels les politiciens n’osent pas s’attaquer sauf par de vagues déclarations d’intentions démagogiques. Bref, les urgences ne manquent pas en écologie et le faux problème du gaz carbonique détourne les regards des vrais sujets écologiques.
Et sous le prétexte noble et séduisant de sauver la planète, des dépenses et des contraintes seront engagées au nom d’une croisade anti-réchauffiste aux résultats infinitésimaux.
Les écologistes sincères qui collaborent naïvement à cette idéologie d’inspiration néo-malthusienne luttent contre des moulins à vent en se lançant dans la traque mono maniaque d’un gaz naturel émis à plus de 99% par l’environnement lui-même et qui lui est profitable. Les populations du globe vivent déjà au sein de tout un éventail de climat et s’y acclimatent fort bien. Si un réchauffement ou refroidissement climatique vraiment conséquent se produit un jour, il sera le fait de phénomènes naturels puissants et l’homme devra s’adapter comme il l’a toujours fait."
Source : et suite sur
http://bellaciao.org/fr/spip.php?
Toutes mes vidéos sur:
http://fr.youtube.com/watch?v=xx5mRnGLjkk