Brêves de février

Eh dites oh !

"Une séparation, c'est la promesse d'une future rencontre"

Nostalgiques des années 60/70 et des motos de cette époque, nombre d’entre nous, refusons de vieillir…trop vite !

Déja 40 ans de moto et les années  qui défilent...Dire qu’on ne voit pas le temps passer est un euphémisme !

Et déja 8 ans que, voulant rattraper « le retard » je me lançais dans la construction d’une CB 350 de piste, puis peu de temps après dans celle d’une 550 four.

A écumer les circuits et a voir les sides tourner, l’envie était grande d’essayer ce "truc de ouf "!!

Alors ce fut l’acquisition du basset Suzuki, bientôt remplacé par le BM 16 pouces, la mécanique et le plaisir qui va avec.

Je ne sais pas vous, mais se rendre à l’évidence pour moi, c’est parfois difficile ! On a qu’une paire de fesses (en général) et rouler sur mes deux motos solo se faisait de plus en plus rare !

Même si c’est dur, il faut parfois faire des choix et savoir tourner la page. Je me suis résolu, dans la douleur et après quelques nuits blanches a me séparer de ces deux motos (elles sont déjà vendues)…La cicatrisation viendra, c’est sûr en rebondissant avec d'autres projets, (déjà un deuxième side à finir)...et qui sait, une autre "belle" me fera sûrement de l'oeil un de ces jour !

C'est connu : "Une séparation, c'est la promesse d'une future rencontre", ce que les psy nomment « résilience ».

frico   

La photo du mois

Un Valentino "givré"...c'est de saison !

Actualité

 

 

Pour survivre, la marque française Gima a besoin de 400.000 €. Face aux refus de prêts des banques sollicitées, le président Hilario Gonzalez a entamé le 1er fevrier une grève de la faim.

Un appel de détresse avant la possible mise en liquidation judiciaire, le 12 février prochain.

À l’origine, Hilario Gonzalvez, chef de l’entreprise GB Méca, a décidé de faire revivre la marque GIMA près de 40 ans après sa disparition.

Située dans le fin fond du Puy-de-Dôme, à Peschadoires (63), l’entreprise a décidé de remettre aux normes la petite 125 cm3 et propose désormais 8 modèles à la vente.

Après 5 années d’existence, la 125 française semblait avoir trouvé un public. Nicolas Gonzalves affirme avoir plus de 150 commandes fermes à honorer.

Cette petite entreprise familiale fait travailler 7 salariés à plein temps.

 

Sécurité routiére: Bussereau dégaine Loppsi…

"1970, la moto est en pleine ébullition, des motos de référence sortent sur le marché, Honda gagne Daytona, Triumph le Bol d’Or, MV les GP en gros cube tandis que Derbi et les japonais trustent les petites cylindrées… Jimi Hendrix casse sa pipe (à joints)… comme pas mal de pilotes moto, on s’en rappelera de cette année là !"

La suite sur :

http://www.motomag.com/1970-annee-moto-de-legende-course.html

 

 Action Moto Journal 2010

L'étau se resserre sur notre liberté de rouler à moto, à cause des statistiques alarmantes sur les routes, mais aussi d'une perception erronée de notre pratique.

Dans la roue de Motomag, Moto Journal s'engage aussi à éclairer le débat en menant plusieurs actions en 2010 sous un label nommé "OUI A LA MOTO", actions que vous pourrez retrouver régulièrement dans ses colonnes (Moto Journal, tous les jeudis en kiosque) où sur son site Internet.

Fini le parking gratuit dans le centre de Londres !

Depuis le 25 janvier, les motards et scooteristes londoniens doivent payer pour occuper l’une des 6100 places de parking deux-roues que compte le centre de la capitale.

Inquiétant : Londres fait figure d’exemple européen…

Prochaine manif le 4 février. Qu’ils soient en side ou en scooter, les motards londoniens répondent présent aux appels de la NTBPT (No to the Bike Parking Tax).

 

CIAO MANO

Triste hiver 2010, le 11 janvier on a appris la disparition de Mano Solo, des suites de plusieurs anévrismes. Il avait 46 ans.

Il était le fils du dessinateur Cabu, et d’Isabelle Monin, une militante écologiste (créatrice de la revue « La gueule ouverte ») ; elle a elle-même annoncé la nouvelle sur le forum de Manosolo.net :

« Il ne viendra plus.

Il ne viendra plus nous invectiver.

Il ne viendra plus nous encourager.

Il ne viendra plus nous donner tout ce qu’il avait : son talent, sa force, son élan, sa générosité.

Il ne viendra plus le raoul, l’incomparable Mano Solo.

Il ne me dira plus "Isabelle je t’aime"... Mon petit Mano. »

« Né en 1963 à Châlons-sur-Marne, ce garçon élevé dans un milieu très politisé, vire mauvais garçon à l’adolescence, entre drogue et délinquance.

Il est déscolarisé dès l’âge de 15 ans. A 17 ans, il intègre en tant que guitariste les Chihuahuas, un groupe tendance punk-rock.

Au cours des années 80, il peint beaucoup, signant ses toiles Boredom en hommage aux Sex Pistols.

On le retrouve à New York où ses œuvres sont exposées, puis assistant décorateur pour le cinéma, ou signant des dessins dans «les Nouvelles Littéraires ».

En 1993, il est révélé en tant qu’auteur compositeur avec l’album « La Marmaille nue ».

Sa musique, du rock alternatif mêlé de musette, la violence est partout dans ces chansons qui font du bruit.

A 30 ans il est atteint du sida.

Plus tard, il regrettera d’en avoir fait état, pour la simple raison que sa maladie prend le pas sur sa musique.

Mano Solo devient un emblème : »

"J’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise. La bonne, c’est que je ne suis plus séropositif. La mauvaise, c’est que j’ai le sida !»

 

Anniversaire :

Le 8 FEVRIER 1962 - L’ETAT ASSASSINE
Il est des anniversaires que l’état et les médias aux ordres ne célèbrent pas.

A l’issue d’une manifestation pour la paix en Algérie et contre les attentats de l’OAS, 9 militants de la CGT dont 8 membres du PCF sont assassinés au métro Charonne, le 8 février 1962, par la police du sinistre Papon.

-Jean-Pierre Bernard, 30 ans, dessinateur
-Fanny Dewerpe, 31 ans, secrétaire
-Daniel Féry, 15 ans, apprenti
-Anne Godeau, 24 ans, employée PTT
-Édouard Lemarchand, 41 ans, menuisier
-Suzanne Martorell, 36 ans, employée à l’Humanité
-Hippolyte Pina, 58 ans, maçon
-Raymond Wintgens, 44 ans, typographe
-Maurice Pochard (décédé à l’hôpital), 48 ans

 

On nous prend pour des cons.gouv.com

 

En ce début d'année, le gouvernement a entrepris de revendre à des pays étrangers une partie des 94 millions de doses de vaccins contre la grippe A(H1N1).

Cette opération, viserait à réduire la facture de la campagne de vaccination «imaginée» par le gouvernement...qui était estimé à 2,2 milliards d'euros environ (3 fois le coût du plan cancers ou égal au déficit de l'hopital public, etc...).

A peine 10% de la population a été vaccinées en France contre la maladie, qui, selon le dernier pointage de l'Institut national de veille sanitaire, avait provoqué 198 décès au 29 décembre !

Sur le même sujet :

Mes articles précédents...

Même le Père Noël "au charbon"...

 

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