Ces 1% qui affament le reste du monde !
"Les inégalités extrêmes se sont aggravées", constate l'organisation de lutte contre la pauvreté dans un communiqué. C’est que l’année dernière, le club des ultra-riches possédant autant que les 3,5 milliards d’humains les plus pauvres comptait 85 membres. Il n’en faut plus que 67. L’ONG Oxfam interpelle le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, qui tiennent leur assemblée générale cette semaine à Washington. "Le président de la Banque Jim Yong Kim et la directrice générale du FMI Christine Lagarde ont abondamment parlé des dangers posés par l'explosion des inégalités. Cette semaine, nous devons voir des actions concrètes pour appuyer cette rhétorique", a plaidé Raymond Offenheiser, président d’Oxfam America.
Car plus qu’un simple constat, l’ONG pointe le fait que l’austérité aggrave les inégalités. Les moyens alloués à l’aide au développement ont chuté drastiquement. Frappés par l’austérité érigée en dogme par le FMI, les pays riches ont coupé dans leurs dépenses, l’aide au développement étant un des premiers budgets sacrifiés. C’est jusqu’à 160 milliards d’euros par an en moins, estime l’ONG.
"L'austérité aggrave les inégalités et le FMI et la Banque mondiale le savent bien", assure Oxfam, qui appelle également le Fonds à admettre que les stratégies d'évitement fiscal des multinationales sont un des "moteurs" des inégalités. Le FMI a pourtant récemment publié deux rapports soulignant les méfaits des inégalités sur l'économie. La Banque mondiale s'est, elle, fixé l'objectif de doper les revenus des 40% les plus pauvres partout sur le globe.
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Part de la richesse nationale accaparée par les 1 % les plus riches:
- Pour d’avantage de chiffres : L'austérité en chiffres : la crise accroît les inégalités de revenu
"Les inégalités extrêmes se sont aggravées", constate l'organisation de lutte contre la pauvreté dans un communiqué. C’est que l’année dernière, le club des ultra-riches possédant autant que les 3,5 milliards d’humains les plus pauvres comptait 85 membres. Il n’en faut plus que 67. L’ONG Oxfam interpelle le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, qui tiennent leur assemblée générale cette semaine à Washington. "Le président de la Banque Jim Yong Kim et la directrice générale du FMI Christine Lagarde ont abondamment parlé des dangers posés par l'explosion des inégalités. Cette semaine, nous devons voir des actions concrètes pour appuyer cette rhétorique", a plaidé Raymond Offenheiser, président d’Oxfam America.
Car plus qu’un simple constat, l’ONG pointe le fait que l’austérité aggrave les inégalités. Les moyens alloués à l’aide au développement ont chuté drastiquement. Frappés par l’austérité érigée en dogme par le FMI, les pays riches ont coupé dans leurs dépenses, l’aide au développement étant un des premiers budgets sacrifiés. C’est jusqu’à 160 milliards d’euros par an en moins, estime l’ONG.
"L'austérité aggrave les inégalités et le FMI et la Banque mondiale le savent bien", assure Oxfam, qui appelle également le Fonds à admettre que les stratégies d'évitement fiscal des multinationales sont un des "moteurs" des inégalités. Le FMI a pourtant récemment publié deux rapports soulignant les méfaits des inégalités sur l'économie. La Banque mondiale s'est, elle, fixé l'objectif de doper les revenus des 40% les plus pauvres partout sur le globe.
"Les inégalités extrêmes se sont aggravées", constate l'organisation de lutte contre la pauvreté dans un communiqué. C’est que l’année dernière, le club des ultra-riches possédant autant que les 3,5 milliards d’humains les plus pauvres comptait 85 membres. Il n’en faut plus que 67. L’ONG Oxfam interpelle le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, qui tiennent leur assemblée générale cette semaine à Washington. "Le président de la Banque Jim Yong Kim et la directrice générale du FMI Christine Lagarde ont abondamment parlé des dangers posés par l'explosion des inégalités. Cette semaine, nous devons voir des actions concrètes pour appuyer cette rhétorique", a plaidé Raymond Offenheiser, président d’Oxfam America.
Car plus qu’un simple constat, l’ONG pointe le fait que l’austérité aggrave les inégalités. Les moyens alloués à l’aide au développement ont chuté drastiquement. Frappés par l’austérité érigée en dogme par le FMI, les pays riches ont coupé dans leurs dépenses, l’aide au développement étant un des premiers budgets sacrifiés. C’est jusqu’à 160 milliards d’euros par an en moins, estime l’ONG.
"L'austérité aggrave les inégalités et le FMI et la Banque mondiale le savent bien", assure Oxfam, qui appelle également le Fonds à admettre que les stratégies d'évitement fiscal des multinationales sont un des "moteurs" des inégalités. Le FMI a pourtant récemment publié deux rapports soulignant les méfaits des inégalités sur l'économie. La Banque mondiale s'est, elle, fixé l'objectif de doper les revenus des 40% les plus pauvres partout sur le globe.
Selon l'ONG Oxfam, qui en appelle à un changement de politique du FMI et de la Banque mondiale, l'austérité est un moteur de l'aggravation des inégalités.
Les 67 personnes les plus fortunées de la planète possèdent autant de richesses que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, a estimé mercredi l’ONG Oxfam, appelant le FMI et la Banque mondiale à agir. «Les inégalités extrêmes se sont aggravées», a affirmé l’organisation de lutte contre la pauvreté dans un communiqué, rappelant que le club des plus riches comptait jusque-là 85 membres.
Selon Oxfam, le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, qui tiennent leur assemblée générale cette semaine à Washington, doivent passer de la «rhétorique» aux actes pour tenter de réduire ce fossé. «Le président de la Banque Jim Yong Kim et la directrice générale du FMI Christine Lagarde ont abondamment parlé des dangers posés par l’explosion des inégalités. Cette semaine, nous devons voir des actions concrètes pour appuyer cette rhétorique», a plaidé Raymond Offenheiser, président d’Oxfam America, cité dans le communiqué.
Le FMI a récemment publié deux rapports soulignant les méfaits des inégalités sur l’économie.
La Banque mondiale s’est, elle, fixé l’objectif de doper les revenus des 40% les plus pauvres partout sur le globe. Mais, selon Oxfam, ces deux institutions doivent désormais «changer» leurs recommandations et leur politique de prêts à leurs Etats-membres, en plaidant pour davantage d’investissements dans la santé et l’éducation.
Gardien de l’orthodoxie budgétaire, le FMI défend traditionnellement les coupes dans les dépenses publiques et la réduction des déficits. «L’austérité aggrave les inégalités et le FMI et la Banque mondiale le savent bien», assure Oxfam, qui appelle également le Fonds à admettre que les stratégies d’évitement fiscal des multinationales sont un des «moteurs» des inégalités.
En France 440000 enfants vivent dans la pauvreté !
Sources : AFP
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